When everything falls apart, with caregiver Ginette Leroux and neuropsychologist Dr. Karen Debas
You can better understand and support someone living with a neurocognitive disorder when you know more about their condition. Dr. Christine Grou, psychologist and president of the Ordre des psychologues du Québec, talks to neuropsychologist Dr. Karen Debas and Ginette Leroux, an informal caregiver.
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Un trouble neurocognitif affecte de manière importante une ou plusieurs capacités mentales, comme la mémoire, le langage ou le jugement par exemple. Intervenir tôt fait toute la différence : cela permet d’assurer la sécurité de la personne, de planifier l’avenir et d’offrir un accompagnement adapté.
5 signaux d’alerte à surveiller
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Répéter les mêmes questions ou histoires plusieurs fois par jour.
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Avoir du mal à accomplir des tâches autrefois familières (cuisiner, utiliser des appareils électroménagers, faire l’épicerie).
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Se perdre dans ses routines ou ses déplacements habituels.
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Montrer des changements de personnalité (plus d’anxiété, irritabilité ou de retrait).
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Perdre la capacité d’organiser ses activités quotidiennes (prendre des rendez-vous, gérer ses finances).


True or false?
Se souvenir parfaitement de vieux souvenirs prouve qu’il n’y a pas de problème.
FALSE
Dans la maladie d’Alzheimer, la mémoire ancienne reste souvent intacte. C’est la mémoire récente, soit à partir du moment où la maladie a commencé à s’installer, qui s’efface d’abord. Notons d'ailleurs que d'oublier ses clés ou ses lunettes à l'occasion n'est pas un signe de démence. Tout le monde égare des objets de temps à autre! Ce qui doit inquiéter, c’est quand la fréquence augmente, par exemple perdre ses clés à tous les jours, ou que la personne n’arrive plus du tout à retrouver ce qu’elle cherche.
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